
S'il y a quelque chose d'intéressant dans ce "Dark Places", c'est au livre dont il inspiré qu'il le doit : comme avec "Gone Girl", Gillian Flynn dresse un portrait fin et néanmoins sans concession d'une Amérique engluée dans la médiocrité à tous les niveaux, matériel, intellectuel et moral, portrait rehaussé par une intrigue "policière" plutôt bien troussée. Ça, c'est le matériau de départ, passionnant, que le Frenchie Gilles Paquet-Brenner a complètement salopé grâce à l'incompétence crasse qu'on lui connaît. Le massacre commence...
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