
Catherine Breillat n’a pas été épargnée par la vie, c’est le moins qu’on puisse dire : son retour à Cannes après un AVC et des années où elle a été sous emprise d’un homme qui l’a exploitée, avec un film aussi « différent » de la production française « standard » que l’été dernier, est forcément une raison de se réjouir. Il reste que cette histoire, proche des sujets troubles que la réalisatrice a toujours explorés, avec un goût certain pour la provocation facile, se révèle sur la longueur beaucoup plus anodine, et surtout...
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