
La Boîte Noire était un bon film, et au delà de la performance du toujours remarquable Pierre Niney, on avait cru y déceler le talent de réalisateur du jeune Yann Gozlan, dont on attendait qu’il se débarrasse d’influences trop visibles (De Palma, Fincher, Coppola…) dans son film suivant. Et la bande-annonce de Visions, bien construite, qui avait longuement tourné dans les salles au cours de l’été, pouvait laisser espérer le meilleur. La déception est donc sévère, car Visions n’est pas seulement un...
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