
Daniel Blumberg est un drôle de zigoto. D’ailleurs, drôle n’est pas le meilleur terme pour le qualifier, il aurait plutôt tendance à être effrayant : le genre de mec qu’on a pas envie de croiser dans une rue sombre, au cœur d’une nuit sans lune. Il y a quelque chose du vampire chez lui, et pas le vampire cool pour ces demoiselles de Twilight, non plutôt le Nosferatu surnaturel de Murnau. Que la pochette saisissante de son nouvel album, Gut, évoque forcément.
Mais rembobinons pour tous ceux qui n’auraient pas...
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