
21h35 : la salle s’est bien vidée pour accueillir la nouvelle sorcière de la guitare venue de Tel Aviv : entre ceux qui traînent encore dans le bar accueillant de la Maro, et ceux que Meule a définitivement contentés, nous sommes peu nombreux à accueillir Tamar Aphek, Or Dromi, son bassiste chevelu, expansif et jovial, et David Gorensteyn, son batteur au crâne rasé mais à la frappe dantesque. Ah oui, ce trio de base est désormais augmenté d’un quatrième homme, qui va lui aussi « bidouiller » derrière une console,...
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