
20h30 passées de quelques minutes : Meule, c’est une musique qui peut laisser froid quand on l’écoute calmement sur disque, mais sur scène, c’est une autre paire de manche : l’usage joliment immodéré de vieux synthés qui doivent dater de la préhistoire du genre, avec ces sons années 70-80 archétypaux, est englouti sur scène par les poussées de guitare psyché, et surtout par la magnifique furie des deux batteurs, placés face à face au centre, comme on voit ça de plus en plus fréquemment, en particulier chez des groupes psyché...
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