
« Si [Gene] Kelly est du côté de l’immanence, (…), [Fred] Astaire se place du côté de la transcendance » : c’est grâce à des phrases comme celles-ci, qui clarifient de manière étonnante tout ce qu’on a toujours ressenti devant le travail des deux plus grands danseurs du cinéma US (et on regrette que Michael Jackson ne soit pas devenu star de cinéma, on aurait aimé avoir l’avis de Timothée Gérardin sur lui…), que Fred Astaire, la Haute Société du Spectacle, nous conquiert.
Après, même si la lecture de ce...
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