
Les deux premières saisons de Fauda avaient su à peu près se tenir sur le fil du rasoir entre justification (difficilement audible) de la politique israélienne envers les Palestiniens, basée sur l’usage immodéré de la force policière et militaire, et regard à hauteur d’homme (et de femme) sur les destins individuels, de part et d’autre des frontières de la haine et de l’incompréhension entre les deux peuples. La troisième avait été plus difficile à avaler, jouant trop le jeu du spectaculaire (l’influence de Netflix ?) et...
[Lire la suite]