
Il est 20h40, et la pluie qui a rythmé l’entracte sur la sono – pas dans la salle ! – se met à enfler, se transforme en un gros orage qui accueille l’arrivée de The Cure… alors que c’est un beau ciel nocturne étoilé qui est projeté à l’arrière de la scène. Tous les regards sont braqués d’abord sur Simon Gallup (perfecto de cuir et jeans déchirés, il reste fidèle à son image rock’n’roll en dépit des années qui ont fini par le rattraper, lui l’éternel adolescent rebelle), puis sur Robert Smith, égal à lui-même, avec peut-être...
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