
Malgré la sympathie que son approche passionnée du cinéma de genre (fantastique, horreur, science-fiction, etc.) nous inspire, il faut bien reconnaître que le cinéma de Guillermo del Toro nous laisse quasi systématiquement sur notre faim. Souvent excessivement formaliste (on n’est parfois pas si loin d’un cinéma à la Jean-Pierre Jeunet), ne craignant pas occasionnellement de jouer sur des clichés faciles, del Toro n’a pas sorti un grand film depuis des années (depuis le Labyrinthe du Faune ?), mais semble...
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