
Il y a des livres, à la fois imposants par leur taille et par leurs ambitions, qui ne peuvent qu’être qualifiés de “monstres”, au sein d’un neuvième art que le grand public a trop souvent tendance à préférer fidèle aux canons du genre établis au siècle dernier. Le plus impressionnant, celui qui nous vient immédiatement à l’esprit, est Moi ce que j’aime, c’est les monstres, œuvre majeure et ovni quasi indépassable… Mais auquel on pense forcément en s’engloutissant dans la lecture des 436 pages de Perpendiculaire au...
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