
Quoi de mieux a priori que la BD pour matérialiser des visions oniriques, puisqu’aucune limite technique, si ce n’est le talent du dessinateur, ne vient a priori brider l’imaginaire, que toute vision peut être matérialisée et donc transmise au lecteur, quelle qu’en soit la démesure, la folie ? Mais ce « no limit » ne constitue-t-il pas en même temps un problème, puisqu’en ayant depuis longtemps (depuis ses origines en fait) fait un formidable usage de cette liberté formelle pour raconter des millions d’histoires, comment peut-on...
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