
Qualifier Menteur de "comédie" est lui faire bien trop d'honneurs, d'ailleurs même le qualifier de "film" est excessif, tant l'ennui règne, implacable, dans la salle climatisée où est projetée, un après-midi d'été où il fait bien trop chaud pour tout simplement vivre, cette "chose informe".
L'inepte Olivier Baroux, déjà responsable de trop d'horreurs pour une vie entière de "réalisateur" (ce qu'il n'est pas, soyons clairs), a paresseusement recyclé le scénario d'un film canadien que nous n'avons pas vu : était-il...
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