
2h39 de biopic sur le King, c'est bien peu tant il y aurait à dire sur la vie, l'oeuvre, l'importance d'Elvis. 2h39 de film de Baz Luhrmann, c'est beaucoup trop, et quand Elvis se termine, cela fait déjà une bonne demi-heure qu'on en a assez, qu'on prie pour que ça s'arrête vite, épuisé qu'on est par la frénésie incessante d'images, de couleurs et de sons.
Les choses avaient pourtant bien commencé, malgré l'hystérie formelle des vingt premières minutes : c'est que le personnage du jeune Presley,...
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