
A-t-on le droit de s’alarmer de la baisse radicale du rythme de production de notre groupe psyché-australien préféré, qui semble être revenu désormais, comme le commun des mortels (ce que King Gizzard & The Lizard Wizard ne sont pas, entendons-nous bien !) à un nouveau disque par an ? Il est trop tôt pour le dire, d’autant que ce nouvel opus – format double album, quand même… - a tout d’un bilan à date : en ne poursuivant pas la veine expérimentalo-électro-pop du précédent opus, mais en nous offrant une sorte de...
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