
Il n’y avait évidemment pas grand-chose à attendre du troisième volet des "Animaux Fantastiques", finalement intitulé "les Secrets de Dumbledore", histoire de ratisser largement les nostalgiques de Hogwarth (pardon, Poudlard…) et de "Harry Potter" : le défi du département Marketing du film était de reconnaître le plus ouvertement possible que l’américanisation du monde ses sorciers avait été un échec, en évitant quand même de pointer des doigts accusateurs vers JK Rowling (qui a déjà assez de problème, la pôvre – façon de...
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