
Il est sans doute bien trop tôt pour essayer de trouver un sens à la trajectoire artistique de David Lowery, à son éparpillement entre relecture indie de genres formatés (le film de fantômes avec "A Ghost Story", le fantastique médiéval avec ce "Green Knight"), son boulot pour Disney de remakes en prises de vue réelles des niaiseries de la maison, et toutes ses autres initiatives assez déroutantes. Ou alors on peut aussi admettre que cette fichue “politique des auteurs” que nous tous, cinéphiles appliqués, reproduisons...
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