
Jacques Audiard, l'un des pires cinéastes à connaître une incompréhensible reconnaissance critique (et publique) a encore frappé. Deux heures d'ennui tiède, de clichés romantiques ridicules, de représentation vaine du vide existentiel (sans que ce vide démentiel de la "vie moderne" ne soit jamais une gêne pour Audiard, visiblement), avec des allures de (très) fausse Nouvelle Vague, avec des images sexy qui ne montrent rien et mentent sur tout, et un refus obstiné de parler d'aucune manière de la réalité sociale et économique de...
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