
21h30 : avec Shannon Wright, c’est une tout autre histoire, on passe de la musique des machines à la peinture troublante de l’humanité la plus fragile, la plus déchirante. Il faut d’abord savoir que Shannon, on est là pour l'écouter, pas pour la voir : car elle joue dissimulée en permanence derrière son épaisse chevelure. Privés de « spectacle », nous n'avons plus qu'à nous concentrer sur la musique qui, ça tombe bien et on l’a déjà dit, est renversante. Nous voilà face à une impensable tempête d'émotions, un trop plein de...
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