
Marrant que quand un réalisateur fait un film personnel, léger, à l'écoute et de l'air du temps et de ses personnages, avec une indiscutable empathie vis à vis de ses acteurs, la première référence qui nous viennent à 'esprit est celle de la Nouvelle Vague française... "Julie (en 12 chapitres)" a bien toutes les qualités énumérées ici (légèreté, pertinence par rapport à notre époque, empathie) et dégage même de temps en temps - pas tout-à-fait assez, à mon goût - une certaine magie, mais il me semble reconnaître plus...
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