
20h : dès les premières notes et l’introduction – au violon tsigane – du set, on a ce sentiment délicieux de trouver en Dirty Shirt des frères de sang du Gogol Bordello des origines. Mais Dirty Shirt viennent, eux, de Transylvanie, et leur potion magique personnelle consiste à jouer du folklore roumain en le mélangeant avec du hardcore bien agressif : on croit rêver ! Mais contre toute attente, et à condition, soulignons-le, de ne pas avoir de problème avec la musique excessive, ça marche formidablement...
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