
La première chanson que nous ayons écoutée de Dark Matters, le dix-huitième album des Stranglers, a été And If You Should See Dave…, leur adieu à l’ami Dave Greenfield, emporté par cette saloperie de Covid. Et même si la mélodie n’était pas particulièrement extraordinaire, la classe infinie de paroles dignes, surtout pas larmoyantes, ne décevait pas : « He didn’t fear death / Because he knew death was on his rounds / But no one told him, I was waiting / With a glass at the bar » (Il n’avait pas...
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