
Nous vivons une époque où – l’activité sur les réseaux sociaux en témoigne – les « grands méchants » sont les multinationales pharmaceutiques faisant passer leur profit devant la santé de l’humanité, les investisseurs qui les financent et les politiciens corrompus qui leur permettent d’agir impunément. Il était donc logique que le cinéma « populaire » (entendez : sans aucune ambition autre que de recruter à peu de frais le plus de (télé)spectateurs possibles) fassent d’une famille US lambda les innocentes victimes des agissements de...
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