
Le Djian de l’année dernière, 2030, nous avait déçus, malgré – ou à cause de – son sujet plus ambitieux (sur l’avenir de la planète et notre responsabilité individuelle), ce qui fait que les premières pages de Double Nelson nous rassurent, finalement : voilà notre cher Philippe revenu sur son terrain coutumier, bien balisé oserait-on dire, la crise du couple, ce qui nous garantit à peu près notre plaisir de lecture.
Une fois le titre du livre expliqué sur la quatrième de couverture – Djian ne...
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