
On connaît le principe : le petit con qui devient un gros con, puis l'âge aidant, un vieux con. Je n'avais pas lu un Coben depuis quelque temps, et j'ai été littéralement affligé par l'accumulation de conneries de vieux boomer qu'il écrit, sans aucune gène visible, dans son "best seller" "Run Away" (curieusement traduit en français par son exact contraire... non pas que ça ait la moindre importance !).
ça commence très fort par une accusation des réseaux sociaux qui prennent systématiquement la défense de ces salopards de...
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