
Finalement, c’est un peu toujours pareil : quelques minutes avant de prendre son train ou son avion, on n’a jamais assez de temps pour choisir les polars qui feront notre été, allongés sur la plage ou bien dans un transat à l’ombre d’un chêne millénaire. Une fois choisis (ou éliminés) les auteurs les plus connus, ceux que l’on aime (ou que l’on déteste), on se réfère aux « bandeaux rouges », arme suprême des marketeurs pour faire vendre leur came au milieu des étalages trop bien achalandés (on ne s’en plaint pas, bien évidemment !)...
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