
On se souvient de "la Transparence selon Irina", ambitieux premier roman de Benjamin Fogel qui s’emparait, sous la forme d’un thriller d’anticipation, de thèmes contemporains important, comme l’identité sexuelle et le débat autour de l’anonymat de nos « vies virtuelles ». Avec son titre qui lui fait idéalement écho, "le Silence selon Manon", son second livre – parfois présenté, un peu abusivement comme un « prequel » -, traduit a priori une approche similaire des mêmes sujets : située dans un très proche futur, l’intrigue...
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