
Lewis Trondheim n’est pas le premier à utiliser la combinaison déroutante des mots « apocalypse » et « joyeuse », oxymore qui interpellera forcément en ces temps troublés. Mais, plutôt que de faire référence à un probable futur noir de l’humanité et de la planète, Trondheim a cette jolie intuition : en tant que « conteurs », et donc inspirateurs potentiels de rêves et d’espoirs, il est de la responsabilité des artistes – romanciers, scénaristes, réalisateurs, etc. – d’imaginer un avenir post-apocalyptique (puisque...
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