
En 1995, Robert Guédiguian nous avait littéralement soulevé avec "A la Vie, à la Mort !", magnifique célébration de l’amitié, de l’amour et de toutes les rébellions possibles. Un film qui s’était inscrit pour toujours dans l’histoire du cinéma populaire « de gauche », quand ce terme signifiait encore quelque chose, surtout du côté du cœur. 25 ans plus tard, le constat que propose "Gloria Mundi" est terrible : rien, il ne reste rien des luttes d’antan – et même, Ariane Ascaride, épouse et égérie...
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