
C’est un fait bien connu, mais que j’aime à me remémorer régulièrement : la supériorité de l’humour anglais sur l’humour français (« hein, quel humour français ? », entends-je autour de moi…), c’est que la cible en est soi-même et non les autres. L’auto-dérision, la capacité à s’exposer avec toutes ses faiblesses et ses tares, de manière drôle, voilà la force du meilleur humour : c’est aussi la meilleure manière de définir l’incroyable talent d’Eddie Argos, leader toujours aussi charismatique – et charmant, il...
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