
"Le mieux est l'ennemi du bien" : même nos grands-mères le savaient, qui nous ont transmis cet adage de la sagesse populaire. Maintenant, soit ce dicton n'existe pas en Catalogne, soit Oriol Paulo n'a pas fréquenté assez sa grand-mère, parce qu'on dirait qu'à chacun de ses films, il fait la même erreur : remplir son scénario de thriller malin jusqu'à l'explosion, comme si rajouter encore et encore des tours d'écrou garantissait une sorte de perfection de la machinerie qu'il a construite... sauf que, bien entendu, c'est exactement le...
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