
22h35 : L A N E (c’est-à-dire “Love And Noise Experiment”, comme le rappelle Eric Sourice en présentant le groupe), c’est quand même vraiment autre chose : un mur sonore imparable, construit par trois guitares implacables, et des mélodies accrocheuses, dans la belle tradition du “noise” des années 90. Ou si l’on veut, pour ceux qui se souviennent de cette époque, c’est un peu comme si Fugazi avait fait une croix sur leur extrémisme et gonflé leur son, puis adopté les préoccupations mélodiques de Hüsker Dü. Mais surtout, c’est...
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