
Il y a clairement dans ce "Velvet Buzzsaw" deux projets qui ne cohabitent pas bien, et dont le décalage empêche finalement le film de fonctionner. D'abord, il y a cette critique délicieusement méchante, et que l'on soupçonne d'être avisée, même quand on ne le fréquente pas soi-même du milieu de l'Art : elle ouvre le film de manière particulièrement brillante, et la multiplication de personnages représentant toutes les facettes de la profession, du critique tout-puissant interprété par un Jake Gyllenhaal comme souvent extraordinaire,...
[Lire la suite]