
Finalement, peut-être que sa collaboration avec le jovial Ty Segall a bel et bien desservi Tim Presley, dont on aurait tendance à attendre aujourd’hui de roboratifs éclats de guitare, et ce d’autant plus que sa sortie, voilà déjà quelques années, du registre ultra confidentiel de la musique "faite à la maison" nous autorisait à espérer une normalisation a minima de ce qu’il publie sous le nom de White Fence…
Cette prudente introduction pour dire que "I Have to Feed Larry’s Hawk" (quel titre !) s’avère surprenant tant il se tient...
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