
Il est facile de se gausser de ce "Green Book", première tentative de voler en solo - sans son frère dont on le pensait inséparable - d'un Farrelly : un réalisateur plutôt spécialiste du rire facile se lance dans un feelgood movie en traitant prudemment d'un thème bien politiquement correct, quelque chose du genre "souvenons-nous ensemble combien c'était mal d'être raciste au début des années 60..." Circonstances accablantes, ce film au scénario totalement prévisible, accumulant sans vergogne des situations qu'on a l'impression...
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