
Il y eut une époque lointaine où Valérie Lemercier trimballait une singularité bienvenue, qui pouvait intriguer (le summum fut pour nous sa collaboration avec The Divine Comedy...). Lointaine oui, car il n'en reste rien dans son incroyablement anodin "Marie-Francine", une accumulation très soft de tous les mauvais poncifs de la comédie française la plus vieillotte. Si on sourit au début devant quelques situations emblématiques de notre société (le licenciement pour cause d'amiante, la famille recomposée, l'achat compulsif sur...
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