
"Un Monde Parfait" commence comme l'un de ces "films pour mecs" dont le Clint "première version" a été le héraut et le modèle : évasion de deux durs à cuire, prise d'otages, organisation de la riposte policière manière cowboy (on est au Texas), le tout filmé sec comme Eastwood a appris à la faire chez Don Siegel. Mais à peine a-t-on le temps de se dire que tout cela est bien convenu que le film se met à vagabonder sur des chemins moins empruntés, en tout cas par Hollywood : la distance flegmatique que le Texas Ranger adopte par...
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