
Elle est loin l'époque où l'on se posait la question de la "morale d'un travelling". En 2011, je suppose que ce genre de problème ne traverserait jamais, au grand jamais l'esprit de Miguel Angel Vivas, trop occupé qu'il est à se soucier de "l'efficacité" de sa mise en scène, impressionnante s'il en est, toute entière faite de plans séquence (le gage du "réel") et de split screen (le surmoi du suspense hitchockien, tel que De Palma l'a établi dans les années 80)... sans se soucier de la contradiction inhérente à ces deux formes, bien...
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