
Quelle mouche a donc piqué Annie Clark pour ainsi grimer ses mini-symphonies de couinements électroniques kitschs et de grincements électriques incongrus ? L'ambition d'aller chasser sur les terres abandonnées par un Peter Gabriel à la semi-retraite ? Une certaine lucidité quant à la qualité assez moyenne de ses compositions, qui l'a conduite à vouloir les dissimuler derrière une vision oblique d'une possible modernité ? Toujours est-il que le résultat est largement nul et non avenu : les bonnes chansons ("Cruel",...
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