
J'avais gardé du "Dark Water" de Nakata un souvenir aussi ébloui que terrifié. Le revoir a été une légère déception au niveau de la "terreur" (encore que les fantômes japonais restent les plus convaincants du monde...), mais la beauté de la mise en scène - pure, simple, efficace, classiquement japonaise oserais-je dire - et la force tragique du mélodrame (le sacrifice d'une mère qui se voit comme incompétente et se trouve acculée à un choix extrême pour prouver au monde son amour à sa fille) en font toujours l'un des films...
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